mercredi 18 janvier 2017

ELO#262 - Plein de musique pour commencer 2017


18 janvier 2017

Des chansons et des clips du monde arabo-musulman, de pays dont on n'a pas l'habitude d'écouter la musique:

Du Soudan: Alsarah - Ya Watan (2016)

D'Arabie Saoudite: Majedalesa - Hwages (2016)

Du Sahara Occidental: Aziza Brahim - Calles de Dajla (2016)

D'Algérie: Imarhan - Imarhan (2016)

Du Liban: Mashrou' Leila - Bahr 360 (2016)

Et de Palestine: Dabke dans un lycée de jeunes palestiniennes de Jérusalem (2016)
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Donald

Bonne nouvelle, Aretha Franklin, Madonna, Cher, John Legend, Justin Timberlake, Bruno Mars, Elton John, Celine Dion, Moby, Jennifer Holliday, R Kelly, The Bee Gees, The B Street Band, Andrea Bocelli et Garth Brooks ont refusé de chanter pour l'investiture de Trump cette semaine.

Stevie Wonder, on ne lui a même pas demandé parce qu'il était occupé à écrire des chansons pour Michèle Obama, Isn't She Lovely / My Cherie Amour:

Et Aretha Franklin, le jour de Thanksgiving 2016, transformait l'hymne national américain en chant gospel à l'occasion d'un match de la NFL dans sa ville de Detroit:

Allez, pour faire bonne mesure, le bilan d'Obama:

Obama, entré dans l’histoire sans la changer
Laura Raim, Regards, le 13 janvier 2017
http://www.regards.fr/web/article/obama-entre-dans-l-histoire-sans-la-changer
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Musique plus ancienne
 

De France: Soviet Suprem Party (2014):

Du Pérou: des claquettes de Eusebio Sirio et Caitro Soto (1983):

Et de Jamaïque: trois morceaux des Beatles en reggae: Ob La Di Ob La Da par Joyce Bond, Don't Let Me Down par Marcia Griffiths et Here Comes The Sun par Peter Tosh, les trois reprises dans l'année qui a suivi la sortie de l'originale (soit entre 1968 et 1970)!
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USA toujours

Une incroyable petite vidéo de 5 minutes a fuité du Pentagone pour se retrouver sur le site du magazine américain The Intercept.

Elle décrit le futur vu par l'armée américaine, les bouleversements climatiques, économiques, sociaux, l'urbanisation galopante, mais aussi les tensions criminelles, ethniques et culturelles, réelles ou fantasmées, les dangers qui les accompagnent... et la nécessité, pour l'armée américaine, d'y faire face.

Terrifiante mais magnifique, cette vidéo situe (encore une fois) la fin du monde vers 2030 (on est donc bien tous d'accord!), date à laquelle la situation sera tellement tragique qu'il faudra se battre, ou changer de planète...

Megacities: Urban Future, the Emerging Complexity
Pentagon's Joint Special Operations University, Youtube, le 14 octobre 2016

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