Mardi 25 juillet 2012
La censure et la répression des artistes existe en Russie, comme en témoigne les aventures de ce groupe de femmes punks les Pussy Riots, féministes, athées et solidaires des révolutionnaires égyptiens, jetées en prison par Poutine:
Les Pussy Riots, ces punkettes que Poutine veut garder en prison
Rue89, avec Aujourdhui la Russie
http://www.rue89.com/2012/07/21/les-pussy-riots-ces-punkettes-que-poutine-veut-garder-en-prison-234044
Des nouvelles d'Italie, les suites du G8 à Gênes en 2001, raconté par Quadruppani et dans Médiapart:
http://quadruppani.blogspot.fr/2012/07/genes-2001-nous-avions-raison-nous.html
http://blogs.mediapart.fr/edition/les-invites-de-mediapart/article/180712/en-italie-une-justice-ambigue
Le site web Afriques en Lutte publie un bulletin saisonnier, avec des articles tel que celui ci sur Geronimo Ji-Jaga, Black Panther d'Amérique en Afrique
En Palestine/israel, le racisme et la guerre, ça s'apprend dès l'enfance, dans les parcs d'attraction et dans les jeux vidéo.
Voici le cousin égyptien de l'Anarchopanda québécois:
Le dernier morceau d'Antibalas, sur la crise, avec un joli clip:
Le Festival de Porretta 2012 était sur youtube... Cette année, personnellement, j'ai été déçu par John Gary Williams, Otis Clay et les Bar Keys (et même le final un peu raté), mais impressionné par Syl Johnson (une heure le samedi, à partir de 1h19), David Hudson (vingt minutes le dimanche, à partir de 1h47) et les Bo Keys (comme groupe accompagnateur)... Le deuxième morceau de David Hudson, Honey, Honey, est même meilleur à Porretta que la version originale de 1980, déjà pas mal...
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